Pose un regard neuf sur la lecture de la Première Guerre mondiale à partir d'un renouveau historiographique. Analyse la Grande Guerre non plus en terme de faits, de causes ou de conséquences, mais sous l'angle de la culture de la violence, du nationalisme exacerbé, du phénomène de la croisade et du deuil collectif pour le continent européen.
Dans ce dialogue, les deux historiens interrogent le regard porté sur la guerre et ses violences, de la Première Guerre mondiale au conflit rwandais, et mettent en lumière le déni contemporain quant aux violences, aux traumatismes et à leur transmission.